Pépette Show

Pépette Show

Bienvenue sur le blog de Pépette

 

C’est honteux! Je ne suis pas dans Wikipedia, j’ai donc aucune anti sèche pour vous parler de ma vie, mon œuvre, mes talents et mes cahiers de correspondance.
Bon en gros, je suis une énième blogueuse qui raconte sa vie sur le net. Je suis chroniqueuse pour un magazine people, attachée de presse freelance, peintre (mécènes courrez voir mon book).
J’ai des copains, gentils, qui ont accepté de m’aider pour cet à propos (je mets dans quelques instants leurs commentaires!)
 
Larouquin susurre :
« Il y a tant à dire sur le blog de Pépette. Que c’est drôle, intelligent, bien écrit, bourré de bonnes idées, dynamique.
Et puis surtout, c’est souvent inégal: comme la vie. C’est ça qui fait que j’aime ce blog. La spontanéité.  » (je ne l’ai pas payé ou seulement en esclaves sexuels)
 
Coon râle:
« De grands yeux d’une couleur qui n’existe que dans les films de science fiction, un cœur plein de générosité, un rire qui donne envie d’être de bonne humeur (même à moi), des sujets de conversation cul qui choqueraient la pire fluff-girl de la banlieue de Las Vegas et tellement de bons tuyaux qu’on croirait qu’en fait c’est la mère d’Huggy… Pépette elle fait chier parce que je ne trouve rien à râler sur elle, si ce n’est qu’elle laisse beaucoup trop de place à ses trolls parce qu’elle est trop gentille. Tu voudrais pas être un peu une connasse? Parce que j’aime pas trop trop quand je ne peux pas faire ma teigne. »
 
Leslie dit:
« Pépette? Une pin-up à l’état pur, un joyau plein de confidence qui vous prend par la main et vous entraine sur des terrains où nul autre n’oserait poser les pieds.
Un voyage au cœur de sa bulle. Presque initiatique. A lire absolument!
 
Merci à tous pour ces petits mots, et particulièrement à Bruno qui me connait sur le bout de ses doigts:
« Quelque part entre ses escarpins et sa licence d’Histoire contemporaine, assise par terre en train de réfléchir à sa prochaine toile, Pépette.
Pépette, avec son énorme cœur planqué sous son énorme poitrine, soupire et se demande si le monde a bien saisi à quel point La Belle Au Bois Dormant est hardcore.
Elle en fera une note sur son blog, tiens.
Elle sera bleue électrique, sa toile.
Elle se lève, fait tomber son verre au passage.
C’est même pas de sa faute, d’abord.
Et la question qu’à peu près tout le monde se pose : comment ne pas l’aimer ?
Ne me regardez pas comme ça, je n’ai pas la réponse ! »
Bon et aussi parce que la démocratie et mon petit cœur de gauche me poussent à le faire, un commentaire d’un de mes grand détracteurs:
Extension du domaine de la pute hurle:
« Alors oui si je suis pas content, j’ai qu’à me casser, mais c’est pas si facile. Toute cette dégénérescence a investi toutes les couches de la société. De l’hypo, à l’épi jusqu’au derme. On ne peut plus respirer tant cette fausse à purin refoule. Tu es à gerber, tant physiquement que psychiquement. Et c’est bien cela que je m’évertue à combattre.»

 

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